Pour la liberté de conscience des adeptes du Falun Gong

Publié le par Adriana Evangelizt

Voir ICI , ICI et ICI photos des tortures subies par les adeptes du Falun Gong, carrément dans la rue et devant tout le monde. Et c'est dans ce pays gestapiste qu'ont lieu les jeux olympiques. Vivement que la Terre chavire pour démonter ce régime.

 

 

 

Une question de conscience

Falun Gong Human Right Working Group

Signez la pétition en ligne

 



Le 7 mai 2004, dans le camp de travaux forcés de Longshan, deux policiers ont menotté Mme. Gao Rongrong à un tuyau de chauffage et l'ont électrocutée avec trois matraques électriques pendant sept heures d'affilées, carbonisant son visage. Cette photo a été prise 10 jours plus tard. Mme. Gao a envoyé cette photo aux sites internet d'outre-mer. Quand le régime communiste s'en est aperçu, ils ont affiché partout des avis de recherche. Ils ont torturé à mort Gao Rongrong le 16 juin 2005 

 

Nous recevons de nombreux courriers nous demandant pourquoi notre travail se focalise sur la Chine, et pourquoi nous ne travaillons pas, par exemple, pour empêcher les États-Unis de commettre tant d'actes répréhensibles contre ses victimes.

La réponse la plus simple et la plus directe est la suivante : parce que ce que nous voulons défendre est le droit le plus fondamental de l'être humain, le droit à la conscience ; ce que nous voulons est de mettre fin aux crimes les plus odieux, les crimes contre la conscience.

En pleine seconde guerre mondiale, Le chef de la résistance et futur président français Charles de Gaulle avait déclaré au club français d'Oxford : « A la base de notre civilisation, il y a la liberté de chacun dans sa pensée, ses croyances, ses opinions, son travail, ses loisirs. » Ces droits inaliénables, malheureusement, ont été trop souvent retirés aux êtres humains.

La force peut priver des millions de personnes de leurs droits fondamentaux. Mais il est une chose qu'une force extérieure ne peut retirer -- la conscience. Notre pensée nous appartient. Cette conscience est probablement la seule chose que nous possédons et contrôlons vraiment, c'est donc elle qui nous définit en tant qu'humains. Le droit le plus fondamental à protéger est donc, d'après nous, le droit à la liberté de conscience.

Comme les persécuteurs de toutes sortes n'ont pas accès direct à la pensée de leurs victimes, d'autres moyens sont employés pour la violer. C'est la raison qui fait que les atteintes à la liberté de croyance sont rarement exercées sans violer dans le même temps d'autres droits humains fondamentaux. C'est une observation que Mme Asma Jahangir, rapporteur spécial des Nations Unies sur la liberté de croyance et de religion, souligne dans un de ses rapports.

Pour un être humain, perdre sa conscience signifie une chute sans fond et toutes les possibilités du mal. L'actualité de la nourriture et des jouets toxiques exportés par la Chine a largement indigné nos pays, et a été interprétée par certains analystes comme le résultat de « l'impuissance de l'autorité de la loi » en Chine. En absence de conscience, l'esprit humain peut contourner toutes les lois naturelles et humaines pour des gains personnels.

La crise morale profonde dans laquelle la Chine est enlisée est la conséquence directe des crimes contre la conscience commis par le régime communiste chinois, année après année, depuis qu'il a pris le pouvoir il y a plus de cinquante ans. Ces dernières années, le régime chinois a perpétré ses crimes dans d'autres parties du monde. Les populations du Darfour, de Birmanie, du Zimbabwe, de Corée du Nord en font les frais. Le régime chinois a également réussi à inciter des entreprises du monde occidental comme Microsoft, Yahoo, Cisco à coopérer avec lui pour commettre ces violations des droits de l'homme.

Corrompre les gens pour qu'ils agissent contre leur propre conscience est la base même de la politique du régime chinois. C'est pourquoi le régime chinois perçoit la conscience comme la plus grande menace contre son pouvoir. La persécution du Falun Gong par le régime communiste chinois l'illustre de la façon la plus brutale.

Déterminés à ne pas céder devant le parti communiste chinois (PCC), les pratiquants de Falun Gong font valoir leur propre droit à la conscience, et par leur exemple protègent bien au-delà d'eux-mêmes la conscience humaine.

Comment pourrions-nous, nous qui plaçons cette conscience au cœur de nos efforts, ne pas les soutenir ? Comment pourrions-nous ne pas consacrer notre temps et notre énergie afin de mettre fin à ces crimes contre la conscience perpétrés par le régime communiste chinois?

L'essence de ce combat entre paix et violence, entre vérité et mensonge, entre conscience et mal, est abordée dans un livre, Falun Gong, Humanity's Last Stand, publié en plusieurs parties.

« Si le bien et le mal peuvent être compromis, pourquoi le bien et le mal existent-ils?... La conscience définit donc la nature humaine, et le droit à la conscience est le droit le plus fondamental de l'être humain.

Aucun crime n'est donc aussi odieux que le crime contre la conscience. »

-- The Conscience Foundation

Sources Falun org

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans Esclavage

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article