Marée noire : des centaines d'animaux morts, englués dans le pétrole

Publié le par Adriana Evangelizt

Pauvres bêtes... pauvres gens... pauvre Nature... pauvre Terre... rien ne lui aura été épargné. Les sangsues qui règnent sur notre monde nous indisposent au plus haut point. Vénalité. Rapacité. Prédation. Destruction. Atrocité. Inhumanité. Voilà leurs principaux attributs. Mais il y en a beaucoup d'autres, la liste est infinie. Ce sont les Assassins de la Planète. Des nuisibles dont le seul but est de se goberger sur le dos de l'Humanité dont ils se servent pour piller un maximum de richesses terrestres. Comment avons-nous pu laisser s'installer cette calamité ? Comment ? 

 

 

 

 

 

Marée noire : des centaines d'animaux morts, englués dans le pétrole

 

 

Golfe du Mexique, États-Unis - En Louisiane, en Floride, comme au Texas, des centaines d'animaux et surtout des oiseaux ont été retrouvés morts, victimes de la marée noire qui s'échappe dans le golfe du Mexique depuis le 20 avril dernier.

 

D'après les autorités fédérales, 792 animaux, et notamment des oiseaux, des tortues de mer ou des dauphins, sont morts mazoutés dans les eaux du golfe et sur les côtes. Mais d'après les scientifiques, comme Tom Bancroft, le véritable bilan est déjà bien plus lourd. "Certains oiseaux coulent à pic en mer et ne pourront jamais être comptabilisés parmi les victimes de la marée noire" explique-t-il.

 

Après la Louisiane, l'Alabama et le Mississippi, le pétrole qui continue à s'échapper du puits accidenté de BP a atteint une partie des célèbres plages de sable blanc de Floride. La nappe a également atteint le Texas, où la découverte d'oiseaux morts portant des traces de pétrole a été pour la première fois signalée.

 

Les animaux les plus menacés par la marée noire sont les oiseaux du littoral qui se reproduisent sur les côtes du golfe du Mexique, comme le pluvier de Wilson. Le pélican brun, emblématique de la Louisiane, est lui-aussi en danger, un an seulement après avoir été retiré de la liste des espèces en voie de disparition.

 

"Quel que soit le nombre de bénévoles déployés sur le terrain, nous ne pourrons jamais scruter le littoral pour pouvoir sauver tous les animaux en danger", déplore Sharin Taylor du Service fédéral de protection de la faune et des poissons.

 

Sources Maxisciences

 

Posté par Adriana Evangelizt

 

 

 

 

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