Chine: émeutes dans un village après la mort d'une adolescente
Quand la Chine s'éveillera, ça va faire du bruit et cela ouvrira la porte à la Révolution mondiale. Il faut voir ce qu'endure ce Peuple et l'oppression qu'il subit pour lui ôter toute envie de rébellion. Les Chinois vivent dans une peur continuelle. Et comment pourrait-il en être autrement ? On se plaint de la police en France, allez vivre en Chine et vous nous en donnerez des nouvelles. Là-bas si on vous arrête, vous êtes d'office passé à tabac et il n'est pas dit que vous en ressortiez vivant, voilà le dialogue. Là, un enseignant en est mort parce qu'il a voulu demander des comptes sur la mort de sa fille qui a été violée avant d'être tuée. L'assassin serait un haut responsable de la région en question mais la police, bien évidemment, le protège. Les élèves de l'enseignant ont voulu demander des renseignements aux policiers, ils ont aussi été tabassés. Alors de colère, ils ont provoqué une émeute et mis le feu au commissariat. De suite, le téléphone a été coupé et les sites internet aussi. Voilà la Liberté ! Voilà où vont se dérouler les Jeux Olympiques ! Voilà le régime communiste qui règne en Chine ! Un régime fasciste où les corrompus de tous poils règnent en maître. Après cet article, nul doute que l'on va avoir droit à des spams chinois car les sbires du gouvernement sont pires que les sionistes, ils surveillent le net pour mettre à l'index ceux qui osent les critiquer. Ils ont surtout peur qu'un milliard 300 millions de personnes se rebiffent. Imaginez. Imaginez le ras de marée humain et les corrompus planqués derrière leurs murs en train de trembler. Bien évidemment, ils ne feront pas de quartier et ils enverront leur armée pour assassiner les rebelles. Mais un jour les Chinois n'auront plus peur et ils se joindront à tous les peuples du monde pour se débarrasser des élites dévoyées qui gouvernent notre monde. L'Esclavage des Peuples arrive à son terme. Il y a des limites à la patience...
Chine: émeutes dans un village après la mort d'une adolescente
Des émeutes ont éclaté dans le sud-ouest de la Chine, où des villageois ont incendié des bâtiments gouvernementaux pour protester contre la conduite d'une enquête policière sur la mort d'une adolescente, ont indiqué dimanche des habitants et l'agence Chine nouvelle.
Les violences sont survenues samedi dans le canton de Wengan, dans la province montagneuse du Guizhou.
Des photos publiées sur l'internet ont montré plusieurs milliers de personnes rassemblées devant le commissariat de Wengan. Les vitres du commissariat étaient brisées et de la fumée s'échappait du bâtiment.
Selon des villageois contactés par l'AFP, la colère est montée après l'annonce samedi après-midi à l'hôpital de la mort de l'oncle de la jeune fille décédée.
L'oncle, qui s'était élevé contre les résultats de l'enquête ayant conclu au suicide, serait mort après avoir été passé à tabac.
"Son oncle, qui a été tabassé par la police ou des voyous à la solde de la police, est mort samedi", a affirmé une habitante, s'exprimant sous le couvert de l'anonymat par crainte de représailles.
"Comme l'oncle enseignait dans une école locale, des dizaines d'élèves sont allés demander des comptes à la police, c'est à ce moment-là que certains d'entre eux ont été frappés. Après avoir été tabassés, ils ont incendié des locaux et des voitures de police", a-t-elle ajouté.
Des forums sur l'internet ont affirmé que l'adolescente avait été violée et tuée il y a neuf jours et que la police avait tenté d'étouffer l'affaire pour protéger le principal suspect, identifié comme le fils d'un haut dirigeant de Wengan.
Des responsables locaux étaient injoignables dimanche matin.
Certains villageois ont indiqué que jusqu'à 200 membres des forces de sécurité étaient arrivés dans la nuit de samedi à dimanche à Wengan, où les lignes téléphoniques ont été coupées.
La plupart des pages internet faisant référence aux émeutes étaient par ailleurs inaccessibles dimanche.
La Chine contrôle étroitement la Toile et les internautes chinois ont accès à une version allégée de l'internet, avec des sites censurés, notamment des sites d'information, ceux appartenant à des organisations de défense des droits de l'Homme et tous ceux jugés subversifs par le pouvoir communiste.
L'agence de presse officielle Chine Nouvelle n'a donné pas de détails sur l'origine des troubles à Wengan, se bornant à qualifier de "criminels" les auteurs des violences à la suite du "mécontentement" à propos des investigations sur la mort de la jeune fille.
"Un groupe d'individus non identifiés a incité la foule à attaquer les locaux de la police, ceux du gouvernement du district et l'immeuble du parti communiste", indique l'agence. "Après cela, un petit nombre de criminels a saccagé les locaux et même incendié des bureaux et plusieurs voitures".
Toutefois, la foule s'était dispersée dimanche et l'incident "n'a pas connu d'escalade", selon Chine Nouvelle.
Sources AFP
Posté par Adriana Evangelizt