40 rhinocéros noirs victimes de braconniers dans des réserves du Zimbabwe

Publié le par Adriana Evangelizt

Nos amis les bêtes continuent d'être les victimes des brutes sanguinaires, des criminels sans foi ni loi que nous vouons aux gémonies en souhaitant de tout coeur que leur fin soit la même que celle qu'ils ont fait subir à l'animal qu'ils ont lâchement assassiné. Plus je connais les hommes et davantage je préfère les Bêtes, c'est certain. Car deux fléaux règnent sur notre monde, l'argent et le sexe. Et c'est au nom de ces deux calamités que les animaux sont sacrifiés le trois-quart du temps. En Chine, on enferme les chats dans un sac, on les frappe pour les tuer pour faire monter l'adrénaline dans la chair et consommer ensuite un plat aux vertus aphrodisiaques. En Afrique, on massacre les rhinocéros pour voler leur corne qui serait aussi aphrodisiaque. Ils ont besoin de cet artifice pour tenir la cadence lors de leurs ébats. Ils ne savent pas que le Viagra existe, peut-être ? Ils ont besoin de tuer des animaux. Honnis soient tous ces meurtriers !

 

40 rhinocéros noirs victimes de braconniers

dans des réserves du Zimbabwe

 


Un rhinocéros noir à Malelane, en Afrique du Sud, le 30 septembre 2004

Au moins 40 rhinocéros noirs ont été abattus par des braconniers dans des parcs nationaux et réserves du Zimbabwe ces trois dernières années, mettant l'espèce en danger, a dénoncé le Fonds mondial de la nature (WWF), cité samedi par le quotidien d'Etat The Herald.

"Au moins 40 rhinocéros noirs ont été victimes du braconnage dans certains parcs gouvernementaux et réserves durant les trois dernières années", a rapporté The Herald.

Selon une porte-parole du WWF, Melody Maunze, citée par le journal, d'autres espèces, comme le buffle et le lion, ne sont pas menacées, mais le rhinocéros noir est réellement en danger.

"Nous sommes inquiets du niveau croissant du braconnage dans les réserves, en particulier, et dans certains parcs nationaux", a-t-elle déclaré.

"Des efforts devraient être faits afin d'impliquer de manière constructive les populations installées dans certaines réserves dans la gestion de la faune, ce qui pourrait être une option économiquement viable, mieux adaptée aux conditions locales que l'élevage traditionnel que certains pratiquent", a-t-elle estimé.

Le Zimbabwe, en proie depuis sept ans à une récession économique qui a plongé 80% de la population dans la misère, a transféré en 2006 plus d'une centaine de rhinocéros dans une réserve privée de la province du Matabeleland (sud), afin de les protéger des braconniers.

La Convention sur le commerce international et les espèces menacées interdit toute vente de produits issus du rhinocéros --dont la corne est considérée par certains comme un puissant aphrodisiaque-- en raison du déclin massif de la population depuis les années 80.

Les pays d'Afrique australe collaborent afin de protéger et d'accroître le nombre de ces animaux dans la région et le Zimbabwe a récemment donné un rhinocéros noir au Sanctuaire de la faune sauvage de Khama à Serowe, au Botswana.

Sources AFP

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans Animaux en danger

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